Les agressions sexuelles chez les jeunes filles favorisent l’apparition de problèmes de santé génitale et urinaire.
Une nouvelle étude démontre que les séquelles psychologiques laissées par une agression sexuelle chez les jeunes filles jouent un rôle dans l’apparition de problèmes de santé génitale et urinaire.
Ce constat est le résultat du projet de recherche mené par Pascale Vézina-Gagnon dans le cadre de son doctorat au Département de psychologie de l’Université de Montréal sous la direction de la professeure Isabelle Daigneault. Malgré son sujet difficile, l’étude a pour but de favoriser une meilleure intervention des professionnels de la santé afin que l’enfant puisse se rétablir autant sur le plan physique que sur le plan psychologique. Les résultats ont été publiés aujourd’hui dans la revue Health Psychology. Pour lire la suite…. cliquez ici.